Le Regroupement National des Étudiants Haïtiens (RENAEH) a lancé sa cellule de santé et bien-être, ce 1er décembre 2024, à l’occasion de la mondiale de la lutte contre le SIDA.
RENAEH, cette structure regroupant environ 300 jeunes universitaires venus d’une cinquantaine d’universités partout du pays, vient de mettre sur pied, sa 7e cellule spécialisée, dans une conférence réunissant plusieurs dizaines de personnes en ligne, lors de la journée mondiale de la lutte contre le SIDA, le dimanche 1er décembre 2024.
À côté des cellules sur les Droits Humains, Sciences et Technologiques, Économique et Finance, Politique, Culture et Société, Éducation sport et Art, Environnement et Agriculture, cette cellule de santé et bien-être va favoriser de nouvelles formes d’engagements sociaux auprès de la communauté.
« Nous avons lancé cette cellule parce que la santé constitue une affaire urgente pour notre pays. Grâce à cette nouvelle cellule, nos étudiants, surtout en médecine et pharmacie, auront la possibilité de contribuer beaucoup plus aux services de la communauté haïtienne en apportant des réponses aux problèmes de santé et de bien-être auxquels font face la population. », a déclaré Mme Armanda Darius, Coordinatrice de la cellule santé et bien-être du RENAEH.
Ce regroupement fondé en novembre 2021 ne compte pas à se limiter à ses réalisations déjà en œuvre. En effet, il vise à engager socialement les jeunes à travers les différents travaux des cellules spécialisées, mais également à éveiller la conscience des différentes couches de la société haïtienne sur la nécessité d’un engagement solide pour le respect des droits de tous, en vue de favoriser le bien-être de chaque Haïtien.
En effet, la Coordonnatrice, Darius encourage les étudiants à rejoindre la structure dans l’intention de se mettre aux services de la communauté.» C’est l’une des meilleures manières pour forger un avenir meilleur.
« Je veux encourager tous les étudiants qui ne font pas encore partie de RENAEH d’intégrer ce regroupement afin de contribuer à ce changement dont on parle très souvent.»
Ce ne sont pas les gouvernements qui vont changer certaines choses en amont, mais c’est à nous de commencer ce changement à travers nos choix et les actions que nous entretenons dans notre société. », a-t-elle ajouté.